-Comment !? Vous voulez lire mon livre !? En êtes-vous sur ?
-Bien sur, cela m'a l'air vraiment passionant.
-Dans ce cas je ne peux vous l'empêcher ...
L'homme lut :
"Un jeune homme à quelques années de sa majorité traversa la route, une voiture manqua de le renverser il la remercia par de gracieuses injures mais il continua son chemin comme si de rien n'été. Cet homme aux traits d'ado s'appelait Ayonir, toujours habillé d'une chemise, le plus souvent ouverte, et d'un jean, tombant ,car sans ceinture, un sac transportant bien peu de choses, on pourrait dire que c'est pour faire "style". Il marche d'un pas lent et comme d'habitude, les mains dans les poches.
Après plusieurs dizaines de mètres, il prit la rue à droite et s'aperçu qu'une grande fumée noire s'élevait au dessus de là où devait être sa maison. Il couru aussi vite ,comme rarement il le faisait, avec une expression que son visage n'avait encore guère connu auparavant, mais il ne l'aurait pas fait si il aurait prévu que l'endroit de toute son enfance venait de partir dans les flames noirâtres qui dévorait encore les pans de murs toujours debout. Essouflé et à bout de force Ayonir criat en fonçant dans le mur de feu : "MOOOON HEEEERBEEEUUUHH !!!". Puis, en évitant tant bien que mal les flammes, il reconnu son armoire, qui d'habitude se trouvait à l'étage, il l'ouvrit , pris une boite qui se trouvait dedans. C'est alors qu'il eu la triste vision de ses parents calcinés, les larmes lui montant aux yeux, il entreprit de se rouler une dose de ce que contenait la boite pou le soulager, un minimum, de ce drame.
Quand il reconnu les sirènes des pompiers, il reparti aussi vite qu'il était venu. Se réfugiant dans une ruelle sombre, non loin de là. Il se plaqua contre un mur en pleurant autant qu'il ne pu s'en empecher. Les murs se mirent à bouger et les vitre à exploser. Surement à cause de son état de défonce et le choc moral, cela lui fesait voir des allucinations. Soudain une ombre apparue sur un toit, encore une hallucination ! La tache noire descendait doucement vers la ruelle, en s'approchant d'Ayonir. Cette ombre se présenta devant le jeune homme. Ce dernier y reconnu le visage de sa mère, mais la femme été bien trop jeune pour que cela soit elle. Il se rappela de l'histoire de famille du coté maternel : sa mère lui racontait souvent l'histoire de la tragique disparition de sa cousine, "tu sais qu'elle devrait avoir le même age que toi", lui répétait t-elle . Dans tous les cas, elle avait réussi à envoutée le pauvre homme par son charme insoutenable. Mais quelque chose n'allait pas chez elle ... Ses yeux imbibés de sang ? Ses crocs surgissant de parts et d'autres de ses lèvres ? Peut-être mais qu'importe. Dans un language que l'ado ne reconnaissait pas, elle paru vouloir lui dire quelque chose. D'important visiblement.
Et cette femme le fit sombrer dans son plus long sommeil ... celui de la non-vie !"
L'homme cessa sa lecture.
-C'est un beau texte, surtout pour un début visiblement...
-Mais vous avez oublié la fin, coupa l'écrivain.
-Bien, je vois cela.
L'homme tourna quelques page et lu :
"Celui qui lira .... "
L'homme alla fortement frapper la porte qui se trouvait à proximité avant de se faire vider de song sang.
" ... risque d'être maudit pour la fin de ses jours" finissa ironiquement Ayonir.