Je ne me souviens guère de mes parents, j’en garde juste de vagues souvenirs. Autrefois nous vivions heureux mes parents et moi dans un petit village paisible. Seulement s’ils n’avaient pas faits l’erreur qu’il commirent je ne serais peut être pas ce que je suis aujourd’hui, c'est-à-dire un monstre… Il apprirent à leur grès l’existence d’un groupe de vampires qui avaient décidé prendre possession du village en tuant tous ses habitants. Bon généreux qu’ils étaient ils se rendirent auprès du chef du village pour lui annoncer la nouvelle, mais ce fourbe les prit pour des fous et les bannit du village ! Mes parents m’emmenèrent alors avec eux dans un getho. La vie dans ces quartiers pauvres était très différente de celle de mon paisible village natal. Mes parents m’avaient d’ailleurs formellement interdit d’aller dehors le nuit. Jamais ils ne m’expliquèrent pourquoi, je du l’apprendre par moi-même.
Un jour je leur annonçai qu’un ami d’école m’avait invité à dormir chez lui, mais en réalité c’était juste un mensonge inventé de toutes pièces qui me permettrait d’aller dehors la nuit.
Vous ne pouvez pas imaginer comme les rues sont désertes à cette heure là, je me demandais pourquoi, mais ne tardait pas à le savoir. Dans une ruelle éclairée par un faisceau de lampadaire je me rendis compte que j’étais perdu, j’étais sot de ne pas avoir voulu écouter mes parents ! J’entendit alors des pas et hurla :
« Papa ! C’est toi !? »
Mes cris furent suivis d’hurlements lointains, comme ceux d’un loup. Pris de peur je m’empressa de me cacher entre deux poubelles situées sous une échelle fixée au mur. Les pas étaient lourds et se rapprochaient de moi. Je tremblai. C’est alors que j’entendis mon nom, suite auquel je me levai brusquement et, par la même occasion, dévoilai ma cachette. C’était mon père, suivit de ma mère, qui m’avait appelé. J’en oubliais la « chose » qui se rapprochait de moi, mais je m’en souvins vite lorsqu’elle laissa passer un cri. Je tournai la tête et pris connaissance de la chose. C’était un loup garous, tels ceux que l’on pouvait voir dans des dessins des livres, non, en fait il était encore bien plus monstrueux que ceux des livres ! L’immonde bête se dirigea en direction de mes parents à une vitesse folle, mon père ne put résister à une telle charge un mourut sur le coup. Le monstre s’abaissa sur sa victime (je ne sais pas ce qu’il voulait faire à mon père), mais ma mère s’approcha de son mari toute en pleurs, repoussée par l’énorme patte du loup garou qui l’envoya conte le mur en face. Témoin de la mort de mes parents causée par un loup garou, je tombai en pleurs. Ils ne méritaient pas cette mort, pas eux ! Maintenant que l’homme loup avait terrassé, il ne restait plus que moi à massacrer. Il s’avançait vers moi, sereinement, et moi je restais immobile, impassible. Il ressentait que, pris par la peur, je ne tenterais pas de fuite. Je fermai les yeux, mais rien n’arrivait, j’entendais même des bruits. Quand je rouvris les yeux je vis que devant moi avait lieu un combat entre le loup garou et homme … bizarre ! L’homme faisait preuve d’une agressivité que j’aurais cru impossible, c’est alors que je me souvins du discours de mes parents quand ils avaient décrits les vampires au maire ; « ils ont un apparence humaine mais n’ont rien d’humain, sauf un passé ». Je me rendis compte que le combat qui avait lieu opposait un loup garou à un vampire. Inconsciemment je désirai la défaite du loup garou. Soudain le vampire se mit à genoux et se métamorphosa en une bête semblable à son adversaire. L’issue du combat était alors jouée, le loup garou était exténué, il n’arrivais plus à esquiver les coups de son adversaire et aucun des siens de portaient, tandis que la « ête vampire »harcelait son opposant d’un force et d’une vitesse incomparable. La bête redevint un vampire, s’approcha de moi et me dit :
« Je suis un vampire du clan des gangrels, tu as prit connaissance de mon existence donc normalement je devrais te tuer mais je décide de te laisser la vie sauve. Désormais tu seras mien. » Suite à ce paroles il posa ses crocs sur mon cou. Je me ressentait revivre. Il posa sa tête près de la mienne et me demande mon prénom :
« Orochimaru, lui répondis-je.
Bien. Désormais, Orochimaru, tu seras mon fils. Allez vient le mauvais astre va bientôt réapparaître. »
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Sujet: Orochimaru 